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Rentrée: ne ratez pas le coche

Septembre approche, et avec lui ses nouveaux départs: nouvelle formation, nouvelles connaissances, nouveaux challenges. Deux ou trois choses pour bien démarrer ses études, confiées par Camille Padel, récemment passée par là.

A l’UNIL ou ailleurs, ne ratez pas les Welcome Day

Ces journées composées de séances d’informations sont utiles pour comprendre comment fonctionne la nouvelle école ou uni dans laquelle vous mettrez les pieds et pour rencontrer du monde. «C’est super important d’avoir un réseau, mon groupe d’uni je l’ai rencontré le premier jour; c’est là que tu rencontres les gens qui t’en feront connaître d’autres, ça commence ici», témoigne Camille Padel, 25 ans, stagiaire de master à la BCV et tout juste diplômée de HEC Lausanne. Et puis, c’est toujours utile pour repérer les lieux, connaître les horaires de la bibliothèque…

Miser sur un bon groupe

Les potes, c’est essentiel pour le moral, mais aussi pour les cours. «Quand on ne comprend pas le cours, les exercices, qu’on a raté une journée et qu’il faut nous prendre les documents, c’est important de pouvoir compter sur un bon team», ajoute Camille. Et un groupe, c’est aussi utile pour partager des livres ou des fiches de lecture, pour aller réviser à la bibliothèque et échanger sur les galères du jour ou de la semaine.

"Cérémonie HEC Lausanne - DiplôméEs - 11 décembre 2014" "Cérémonie HEC Lausanne - DiplôméEs - 11 décembre 2014"

Mais apprendre à se prendre en main

«Au gymnase on est super encadrés, on est 25 personnes par classe. A l’uni ou en étude supérieure, c’est fini. C’est un choc, on se retrouve face à soi-même», remarque Camille. La solution? Faites un tour dans les assos. Une association, c’est du réseau, des infos, des compétences. «C’est important, ils ont les polycopiés de certains cours, les livres de profs qu’on peut acheter, les prélocations pour soirées étudiantes. En étant cotisant, on bénéficie de réductions sur les livres et les soirées», souligne Camille. Sans compter l’expérience sur le CV et le réseau tissé si vous vous y investissez.

Echanger avec les anciens

Ils sont passés par là, ils connaissent les cours, les profs et les angoisses que vous pourrez connaître face aux mémoires à rendre. «Parler à un étudiant plus âgé, ça peut rassurer», confirme Camille. En l’absence d’évaluations publiques des cours, les anciens seront parfois de bon conseil pour vous aider à choisir une option, à connaître les exigences d’un professeur ou pour vous expliquer ce qui se cache derrière l’intitulé un peu obscur d’un cours. Mais, comme pour les médias, pensez à varier vos sources!

Anticipez!

Salsa, basket, crossfit: les cours de sport sur le campus sont souvent gratuits pour étudiants, à condition de s’inscrire très à l’avance. Idem pour quelques enseignements très prisés. «Certains cours nécessitent l’envoi d’une lettre de motivation pour pouvoir s’y inscrire. Parfois, la sélection des cours à faire commence dès le Bachelor», témoigne Camille. La sélection est de mise aussi pour les cours de langue. «J’ai découvert qu’ils étaient gratuits et donnaient droit à des certificats, mais le dernier délai pour s’inscrire c’est la première semaine de la rentrée… C’est vraiment un truc à repérer à l’avance», conclut Camille.